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L' Initiatrice,

Ecrit par sandratvtg
Parue le 17 mars 2009
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Cette histoire érotique a été lue 22438 fois | Cette histoire erotique a une note de : 14/20

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L’initiatrice,

Je sonne à la porte et une superbe brune m’ouvre en souriant.
Elle est habillée d’une guêpière bleue, d’un adorable slip assorti et de bas à couture tendus par ses jarretelles.
Malgré son abondante chevelure et ses traits fins qui la rendent ultra féminine, je devine au travers de ses dessous transparents un renflement équivoque à la naissance de ses cuisses.
Troublé par cette ambivalence, je craque devant cette magnifique créature qui m’invite à entrer.
Après quelques banalités échangées, elle s’approche de moi en me posant des questions plus précises :
Pourquoi es- tu venu me voir ?
- Les filles comme toi m’attirent et me donnent davantage de plaisir.
- Tu vas d’abord devoir m’obéir et me laisser t’initier à certaines pratiques, me dit-t-elle.
- J’ai toute l’après midi pour te faire vibrer comme un violon, m’assure-t-elle d’un regard prometteur.
Puis, elle me déshabille en glissant sa main entre mes cuisses.
Ma queue se dresse d’un coup lorsqu’elle la referme sur mes bourses pour apprécier mon potentiel.
- J’aime les sexes épais comme le tien car ils me donnent plus de plaisir, m’affirme-t-elle en souriant.
Elle ouvre sa penderie et me dévoile sa collection de corsets, guêpières, porte jarretelles en m’invitant à faire mon choix.
- Puisque nous sommes entre femmes, je vais désormais t’appeler Sandra et m’adresser à toi au féminin, me dit-t-elle.
- Tu ne te reconnaîtras plus lorsque je t’aurai coiffée, maquillée, habillée.
Je m’assois devant la coiffeuse pour la séance de maquillage où elle m’applique du fard à paupières et me pose des faux cils.
Elle souligne mes lèvres d’un rouge ardent pour les mettre en valeur et choisit une perruque mi courte très glamour pour achever ma métamorphose.
- Je suis impatiente de te voir avec tes dessous ma chérie, un cadeau emballé me fait toujours davantage saliver, m’assure –t-elle.
Avec émoi, j’enfile les dentelles coquines qui m’ont fait craquer pendant que Natacha me lace le corset ivoire en dentelle marron.
Elle place ensuite de généreuses prothèses en silicone dans mes bonnets 105c en ne résistant pas au plaisir de me palper les seins.
- Tu n’as rien à m’envier ma belle car ils sont aussi lourds et denses que les miens, me dit-t-elle en cambrant sa magnifique poitrine.
Je contemple un instant cette fille superbe.
Sa longue chevelure auburn tombe en cascade sur ses épaules encadrant son visage sensuel. Ses seins menacent à tous moments de faire craquer les fines dentelles de sa guêpière. Contrastant avec son hyperféminité, je vois sa queue vibrante de désir pointer à travers sa lingerie vaporeuse.
Natacha s’aperçoit de mon trouble et me dit :
- Sois patiente et laisse moi m’occuper de toi pour l’instant.
En souriant, elle me glisse un adorable slip sur les hanches.
Fendu en son milieu, il entoure ma queue d’un écrin satiné en exposant mon œillet à son regard torride.
- Tu es craquante avec cette dentelle qui me dégage l’accès à tes reins, se réjouit-t-elle.
Enfin, elle accroche mes bas de couleur crème aux huit jarretelles enrubannées de mon corset.
Me voyant peu assurée sur mes talons aiguilles, elle m’aide à me glisser dans une superbe robe de nuit fendue qui s’ouvre sur ma cuisse gainée de nylon.
Puis, elle plaque mon sexe vers l’arrière pour que je me sente plus femme.
Bouleversée par l’aspect érotique de cette lingerie, je ressens un plaisir indéfinissable à me contempler devant le miroir.
J’admire mes formes généreuses en prenant des poses suggestives.
J’aime me voir sangler dans mon corset qui comprime mes seins et fait ressortir ma croupe.
J’adore sentir la tension de mes bas quand je marche perchée sur mes escarpins.
Natacha s’approche de moi brûlante de désir.
- Tu as un cul d’enfer, s’exclame t-elle.
Arborant un sourire coquin, elle glisse négligemment sa main dans mes dessous en saisissant mon sexe enfoui entre mes cuisses.
Elle décalotte mon gland d’un geste précis avant de me masturber habilement.
J’ai rapidement une érection spectaculaire qui m’enflamme les sens :
- Laisse moi te faire l’amour Natacha, lui dis-je en l’implorant du regard.
Sans me répondre, elle m’allonge sur une table médicale qui est face à une grande glace murale.
Je dois maintenant me soumettre à cette séance d’initiation mystérieuse qui me rend un peu nerveuse.
- Tu vas découvrir de nouveaux plaisirs, me dit-t-elle avec une lueur d’excitation dans les yeux.
Elle place mes talons aiguilles dans les étriers en rajoutant :
- Ecarte bien les cuisses et reste calme.
Puis, elle m’attache solidement les poignets et les chevilles.
Je suis à la fois excitée et inquiète de me voir entraver de la sorte.
Contemplant mon sexe en érection qui jaillit de mon slip fendu, elle s’exclame faussement en colère.
- Je vais d’abord te faire jouir pour pouvoir poursuivre la séance dans de bonnes conditions.
Elle se penche sur moi et m’embrasse avec ardeur pendant que sa main me caresse les cuisses à la jonction des bas.
Elle la remonte ensuite vers mon anneau qu’elle effleure à peine avec ses doigts.
L’effet est prodigieux et ma verge soulève mon déshabillé d’une manière indécente.
D’un regard lourd, Natacha me masturbe en plongeant son majeur dans mes fesses.
Ayant une grande habitude des pratiques anales, elle m’amène rapidement à l’orgasme.
- Tu vois ma chérie, l’avantage avec une fille comme moi, c’est que je sais exactement ce qui te fait bander.
Avec beaucoup de maîtrise, elle gratte doucement mon frein avec son ongle en me massant la prostate.
- Je vais te faire jouir du cul ma belle, m’assure-t-elle.
Rapidement, un flot de semence blanchâtre sort de mon gland et se répand en une coulée régulière sur mon corset et mes bas.
Avec application, Natacha me presse la racine du sexe et le périnée pour extraire mes dernières giclées de sperme qu’elle recueille dans sa bouche.
Je reste toute étourdie, les yeux mi clos et en extase pendant qu’elle achève de me vider.
Mettant à profit mon relâchement, elle poursuit la séance.
- Je vais maintenant raser ton clito et dégager l’accès à ta grotte, me chuchote-t-elle à l’oreille
Armée d’un rasoir, elle saisit ma queue d’un regard équivoque.
Je frémis lorsque la lame glacée glisse le long de ma verge en tranchant la moindre pilosité. C’est avec soulagement que je la vois se concentrer sur mon œillet qu’elle prépare pour nos jeux avenirs.
Enfin, elle égalise avec soin les contours de mon gazon en sculptant un triangle parfait.
Satisfaite du résultat, elle abandonne son arme pour suspendre une poche plastique remplie d’eau à une patère placée au dessus de ma tête.
Soulevant mes bourses, elle me plonge une canule dans l’anus pour commencer un lavement.
Pendant que mes intestins se remplissent, elle caresse ma verge en la faisant vivre et grandir entre ses doigts.
Le visage à la hauteur de ses hanches, je vois qu’elle ne reste pas indifférente à ce spectacle.
Plaquée contre son ventre par une érection impressionnante, sa queue dépasse largement la hauteur de son nombril.
J’admire son sexe massif qui se balance avec la régularité d’un métronome.
Après un bref échange complice du regard, elle le plonge dans ma bouche.
Je pompe lentement son dard jusqu’à ce qu’un flot de sperme fuse dans ma gorge que j’avale rapidement pour éviter de suffoquer.
Quelques instants plus tard, elle se met à califourchon sur moi et me presse l’abdomen pour me faire évacuer dans un récipient toute l’eau que j’ai dans le ventre.
Je ne résiste pas à l’envie de lui titiller la rondelle pendant qu’elle me suce divinement la queue.
Je suis au bord de l’orgasme lorsqu’elle frotte ses cuisses gainées de nylon contre mon visage en m’enivrant des odeurs et de la chaleur de son corps.
C’est avec regret que je la vois se relever et replacer ses seins dans leurs bonnets.
Puis, elle enfile une paire de gants lubrifiés en me fixant d’un regard trouble.
Bien assurée sur ses talons aiguilles, elle se plante entre mes jambes en contemplant mon cul offert et sans défense.
- Je vais maintenant t’élargir l’anneau ma chérie.
Une vague de plaisir me parcourt le ventre lorsque son majeur se glisse dans mon fourreau.
Sans hésitation, elle rentre très vite deux autres doigts pour me masser la prostate.
- Tu mouilles beaucoup et ton petit trou est déjà bien ouvert, me dit-t-elle.
Explorant attentivement mon oeillet, elle sent sous son doigt de légers renflements qui témoignent de mes longues pratiques sodomiques.
- Tu aimes les gros calibres n’est ce pas ! Eh bien, tu vas être comblée ma chérie, s’exclame-t-elle.
Embarrassée, je ferme les yeux pour ne pas lui répondre.
Elle s’active de plus belle en s’arrêtant dés qu’elle voit perler une goutte de sperme à la surface de mon gland.
J’ai le sentiment qu’elle me réserve d’autres surprises lorsqu’elle agite devant mes yeux un imposant gode noir prolongé par un manche.
Le tenant à deux mains, elle le pose contre ma rondelle.
Devant la glace, je la vois forcer mon passage en essayant sans succès de m’empaler.
Agacée par plusieurs tentatives infructueuses, elle me dit d’une voix ferme :
- Aide moi en poussant ma belle.
La forte pression qu’elle exerce fait blanchir mon œillet qui cède d’un coup en laissant l’énorme dard s’engouffrer dans mes reins.
Je laisse échapper un cri qui surprend Natacha et l’arrête net dans son élan.
Puis, elle continue à m’embrocher en tournant le gode dans mes fesses pour l’enfoncer plus vite.
Maîtresse insatiable, elle s’active sans faiblir en explorant longuement les moindres replis de ma grotte.
- Je vais bientôt t’exploser le clito ma belle, me dit-elle en se penchant sur moi.
Le contraste de son beau visage et de son langage cru m’excite au plus au point.
D’un poignet expert, elle décrit avec le gode des cercles de plus en plus larges en caressant mon frein avec son pouce.
Déchaînée, elle écarte la fente de mon slip et pilonne mes reins jusqu’à ce que j’explose.
La pression de mon sperme trop longtemps contenu est telle qu’il gicle en jets puissants sur mon visage.
Pendant mon orgasme, Natacha pousse le gode dans mon ventre jusqu’au manche et attend que je m’immobilise pour le retirer de mon fourreau.
Puis, elle brandit un mandrin encore plus impressionnant constitué de nombreux anneaux d’un diamètre croissant jusqu’à la racine.
Elle l’agite cyniquement devant mes yeux en me disant :
- Regarde avec quoi je vais finir de te dilater la chatte.
Elle me le montre complaisamment sous tous les angles en le posant sur ma poitrine pour que j’évalue son poids et sa circonférence.
Un moment plus tard, lorsque qu’elle l’empoigne à nouveau, je regrette fortement de ne pouvoir serrer les jambes, étant toujours écartelée et offerte à ses caprices.
Avec perversité, elle le fait coulisser entre mes cuisses avant de l’appuyer franchement contre ma rosette.
- Tu vas prendre un gode de sept cent grammes dans les fesses me souffle-t-elle à l’oreille.
Elle m’enfonce aisément le premier tiers et doit forcer mon passage pour rentrer le reste.
La pression qu’elle exerce sur ma prostate me provoque une forte érection et elle entend mes premiers râles de plaisir et de douleur qui la galvanise.
Je ressens une douleur lancinante qui s’amplifie au fur et à mesure que mes chairs s’écartent pour laisser le passage à ce pieu monstrueux.
Mes plaintes redoublent son ardeur et c’est avec exaltation qu’elle voit mon oeillet se refermer sur le dernier anneau.
Pour soulager la tension, je le fais ressortir en mobilisant mes muscles intimes et regrette très vite mon initiative lorsque Natacha le replonge brutalement avec son genou dans mon ventre.
Avec un certain sadisme, elle le garde appuyé contre sa jambe en m’embrassant pour étouffer mes plaintes.
Un moment plus tard, elle m’enfonce sa culotte en dentelle dans la bouche en me bâillonnant avec l’un de ses bas.
M’ayant retiré le gode, elle me vide dans les fesses une poire remplie d’un gel lubrifiant et antalgique.
- Je vais maintenant passer aux choses sérieuses, me dit-t-elle.
J’attends inquiète la suite des événements.
Elle plonge ses cinq doigts lubrifiés dans ma grotte en les tournant pour les faire rentrer plus facilement.
- Laisse toi aller ma belle, s’exclame-t-elle.
Agitée et déstabilisée, je tire inutilement sur mes liens pour me détacher.
Le corps en arc de cercle, je lui facilite involontairement la tâche lorsqu’elle pousse sa main dans mon ventre.
Puis, elle me soulève avec son bras qui m’empale en bloquant son coude contre la table pour que je finisse de m’embrocher moi-même par le poids de mon corps.
Fascinée, je regarde son poignet disparaître lentement dans mes chairs.
Natacha en profite aussitôt pour introduire son autre main.
Sans me quitter des yeux, elle me pompe la queue en godillant lentement dans mes reins pour se frayer un passage.
Elle est maintenant très excitée et je comprends le plaisir pervers qu’elle éprouve à me violer de la sorte.
Puis, sortant une main de mon ventre, elle me masturbe avec un savoir faire étonnant jusqu’à ce que j’éjacule en jets puissants dans sa gorge.
C’est avec surprise, qu’elle sent mes sphincters se contracter de plaisir sur son poignet lorsqu’elle le sort de mes reins.
Elle regarde d’un air amusé une coulée de gel sortir de mes fesses et s’infiltrer dans ma jarretière.
- Tu mouilles beaucoup ma chérie, s’exclame-t-elle en m’épongeant de son mieux.
Elle me libère ensuite de mes liens en m’invitant à prendre un cocktail bien mérité.
Au bout d’un moment, Natacha me décoche un regard torride en croisant et décroisant ses jambes avec une lenteur calculée qui me laisse entrevoir ses jarretelles.
Puis, elle frotte sensuellement ses cuisses l’une contre l’autre pour me faire entendre le crissement de ses bas.
Avec un regard en coin, elle relève sa nuisette et me dévoile peu à peu sa longue queue plaquée contre sa guêpière.
- Elle ne demande que tes caresses, me dit-elle d’un regard suppliant.
Brûlante de désir, elle m’entraîne vers son lit.
- Fais moi l’amour, je n’ai aucun tabou, me dit-t-elle
Allongée sur le côté, elle me tourne le dos en frottant mon sexe entre ses cuisses.
Son regard se trouble lorsque ma verge luisante de désir, laisse échapper quelques filaments blanchâtres sur ses bas.
Ne pouvant plus attendre, je lui dis d’un ton suppliant :
- Donne moi ton cul ma belle.
Elle se met sur le ventre et écarte les jambes pour m’offrir son anneau qui se contracte avec la montée de son désir.
Natacha me fixe d’un regard de braise et se prépare à mon assaut en écartant ses fesses à deux mains.
- Viens me baiser, s’exclame- t-elle.
J’écarte fébrilement la fente de son slip en la pénétrant lentement.
Une fois mon gland passé, je m’enfonce d’un coup jusqu’à la garde.
Etonnée d’être déjà complètement empalée, Natacha ferme les yeux pour savourer son plaisir.
Collée contre elle, je caresse ses seins sublimes en sentant ses bourses heurter les miennes à chaque va et vient.
Devant le contraste de son apparence hyper féminine et phallique, je bande comme un fou.
Très expérimentée, elle contracte ses muscles intimes et roule du bassin en me pompant la verge avec ses fesses.
Pendant un long moment, elle me comble de bonheur sans que je me lasse d’explorer ses reins.
Soudain, elle s’arrête et se lève pour prendre quelques objets dans un tiroir.
- Je change de programme et tu ne vas pas le regretter, m’annonce t-elle.
Elle me renverse sur le lit en riant et m’enfonce l’une après l’autre des boules anales dans les fesses en me glissant un anneau sur la queue pour je garde mon érection.
Ravie du résultat, elle la prend en main et l’enfonce d’un coup dans sa grotte.
- Je la sens mieux, me dit-t-elle satisfaite.
Adoptant la position « en petites cuillères », elle se tortille sur mon dard pour amplifier son plaisir en se mordant les lèvres pour retenir ses cris.
Très excitée, elle me souffle à l’oreille :
- Maintenant ne bouge plus, je vais te pomper avec mon cul.
Elle se balance lentement d’avant en arrière en comprimant mon sexe avec ses muscles intimes qui deviennent une véritable pompe à sperme.
- Je vais jouir, lui dis-je d’une voix étranglée.
Aussitôt, elle tire sur le fil qui pend entre mes jambes en sortant d’un coup les cinq boules anales de mon fourreau.
Je laisse échapper un cri de plaisir pendant que ma semence se déverse à gros bouillons dans son ventre.
Nous décidons de prendre un repos bien mérité jusqu’à ce que Natacha insatiable me demande de reprendre nos jeux.
Un sourire aux lèvres, elle se masturbe lentement sans me quitter des yeux.
Lorsqu’elle s’avance vers moi, je ne peux détacher mon regard de son sexe impressionnant qu’elle s’apprête à me planter dans les reins.
Impatiente de passer à l’action, elle m’allonge sur le lit en plaçant un coussin sous mon ventre.
Elle contemple un instant mes fesses encadrées par mes jarretelles et les dentelles de mon slip ouvert qui lui dévoile l’entrée de ma grotte.
- Tu as encore l’oeillet grand ouvert, s’exclame-t-elle.
Galvanisée par ce spectacle, elle ne peut plus attendre et me chevauche telle une amazone.
Je serre sa queue entre mes cuisses gainées de nylon en frottant son gland contre les fibres électriques de mes bas.
En pleine érection, Natacha finit de se masturber dans le sillon de mes fesses en s’arrêtant à la limite de l’orgasme.
Enfin, elle me pénètre en m’ouvrant progressivement au diamètre croissant de sa verge.
Totalement allongée sur moi, elle me baise sous tous les angles.
Elle sort parfois de mes reins et se laisse retomber de tout son poids pour m’empaler jusqu’à la racine de son sexe.
Plaquée contre le lit très ferme, les seins écrasés sur le matelas, je me sens défaillir.
Par moment, elle s’arrête pour éviter de jouir trop vite et je perçois alors mieux les pulsations de son sexe.
Quand elle s’active à nouveau, j’entends les claquements excitants de son ventre sur mes fesses en sentant ses bourses me fouetter les cuisses.
Enfin, elle me bascule sur le côté en relevant une de mes jambes pour s’enfoncer jusqu’à la racine de son sexe.
- Je vais te faire jouir maintenant, lui dis-je d’une voix chaude.
Avant qu’elle ne me réponde, je presse sournoisement ses attributs.
Puis, décidée à lui porter le coup fatal, je contracte mes muscles intimes sur son sexe.
Elle veut se dégager pour retarder son orgasme mais je me colle contre elle en me trémoussant habilement sur sa queue.
Elle ne peut plus résister à mon massage fessier et je sens la chaleur de son sperme fuser en moi par saccades.
Totalement assouvie et reconnaissante, elle m’embrasse à pleine bouche
Après un repos bien mérité, elle veut me faire découvrir une ultime gâterie.
- Prends moi une dernière fois, me supplie t-elle.
Nous sommes allongées sur le côté et je bande mollement mais suffisamment pour la pénétrer car son œillet est toujours grand ouvert.
Une fois dans sa grotte, elle me demande de ne plus bouger et s’enfonce un vibro qu’elle glisse le long de ma verge.
Lorsqu’il est bien en place, elle actionne le moteur en suivant attentivement la montée de mon orgasme.
J’éprouve un plaisir indescriptible quand le vibro fait palpiter sa paroi anale sur mon gland.
La jouissance est trop forte et je m’apprête à me retirer.
- Reste dans mon cul, me dit-t-elle sobrement en amplifiant sournoisement le moteur de l’engin.
Elle se tortille sur ma queue jusqu’à ce que je me vide en elle.
- A ton tour de m’exploser le clito, me dit-t-elle en ressortant le jouet de ses fesses.
Je le pose habilement sur son frein et très vite je la vois haleter sous l’effet des vibrations.
Peu à peu, son désir montant crescendo, elle me supplie de conclure.
- Fais moi jouir maintenant ma chérie, je n’en peux plus d’attendre.
- J’ai la queue tellement tendue qu’elle me fait mal.
Malgré son souffle court, je retarde encore sa délivrance.
Soudain, elle se tétanise en libérant un flot de sperme qui inonde sa guêpière.
Epuisées par cette journée, nous décidons de dormir ensemble.
Dans la nuit, me croyant endormie, elle me viole à plusieurs reprises.
A moitié réveillée, je la laisse faire en retenant difficilement mes gémissements lorsque sa sève m’inonde le ventre.
Au petit matin, Natacha s’étire en cambrant sa magnifique poitrine et me dit :
- Cette nuit, j’ai réalisé mon fantasme en te baisant plusieurs fois pendant ton sommeil.
- J’ai tellement déchargée dans ta chatte que j’ai du t’enfoncer un plug pour retenir le sperme qui s’échappait de tes fesses et se répandait sur le lit.
Heureuses de notre journée, nous prenons date pour nous revoir prochainement.


Envoyez-moi vos suggestions à : sandratvtg@yahoo.fr



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